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L’Atir défend des valeurs dans sa mission au service des patients insuffisants rénaux : l’engagement, l’entraide, le progrès et la satisfaction. En 2019, elle les a écrites dans une charte, au terme d’une réflexion qui a impliqué, pendant un an, direction et salariés. Proposée à chaque nouvel arrivant, la charte traduit la volonté des équipes d’ancrer dans leur quotidien des comportements chargés de sens.

Oui, à l’Atir, les patients mettent la main à la pâte. L’une de ses unités d’hémodialyse de proximité (UHP), située à Koutio, près de Nouméa, en témoigne. En effet, son équipe de soignants a pour projet de service d’accompagner les dialysés vers plus d’autonomie dans leurs soins. Comment s’y prend-elle ? En les invitant, par exemple, à monter leur générateur de dialyse.

C’est une bonne nouvelle : depuis fin 2022, l’Atir invite ses patients à pratiquer un sport régulièrement. Elle y a introduit des vélos en salle de dialyse, à Dumbéa sur Mer. Une initiative innovante en Nouvelle-Calédonie. En effet, si les bienfaits de l’activité physique sur la santé sont scientifiquement démontrés, institutions et établissements de soins ne l’associent guère aux traitements médicaux. Les équipes de l’Atir sont prêtes à porter cet élan.

« L’alimentation, ça soigne l’insuffisance rénale ! » affirme l’Atir, qui fait appel à des diététiciennes nutritionnistes pour conseiller ses patients dialysés. Leur mission : apprendre aux insuffisants rénaux chroniques comment s’alimenter de manière à améliorer leur santé. L’une d’elles, Charlène Guignet, nous éclaire sur leurs interventions.

Oui, la maladie rénale chronique engendre des souffrances psychiques chez les patients. Pour les aider à les surmonter, l’Atir leur propose des consultations avec une psychologue. Comment celle-ci les approche-t-elle ? Quelles difficultés soulage-t-elle ? Quelques explications sur une pratique parfois incomprise mais essentielle au traitement des dialysés.

Technique de suppléance rénale moins connue que l’hémodialyse, la dialyse péritonéale lui est pourtant équivalente. Le docteur Pauline Borceux en a abordé les vertus devant des infirmiers et médecins de l’Atir, le 6 décembre. Avec son confrère néphrologue Raphaël Cohen, qui leur exposait les avantages de l’hémodialyse longue de nuit, ils ont ainsi lancé les « soirées de formation médicale » de l’Atir, toutes tournées vers l’amélioration du parcours du patient.

Une salade de mangues finement assaisonnée et du riz au lait de riz. Ce sont les deux recettes diététiques que l'Atir vous propose pour fêter la fin d'année. Diététiques, originales et délicieuses. Faites-vous plaisir, que vous habitiez l'hémisphère nord ou le sud. L'Atir a choisi pour valeur la satisfaction et l'exploite, dans tous les sens du terme. Bonnes fêtes !

En 2016, l’Atir a introduit l’hémodialyse longue de nuit dans son unité médicalisée de Dumbéa sur Mer. Les patients en tirent de grands bienfaits. En effet, leur qualité de vie et leur bilan de santé s’en sont améliorés, conformément aux conclusions de la recherche médicale. Les médecins de l'association militent donc pour étendre cette offre de soins. L’Atir a besoin d'infirmiers pour ce beau projet.

Mi-2021, l’Atir a confié à Christel, Lorenza et Petelo, ses trois assistants médicaux, une mission de relais sociaux pour les patients. Objectif : accompagner les insuffisants rénaux dans leurs démarches quotidiennes pour leur offrir la meilleure qualité de vie possible. Comment leur action s’exerce-t-elle ?