L’Atir initie son personnel soignant aux gestes d’urgence. Pour les lui enseigner, elle a identifié parmi ses équipes des infirmiers volontaires. Ces référents ont bénéficié de la formation dispensée par un spécialiste en la matière, le docteur Christophe Ridel. Selon lui, « maîtriser l’urgence, c’est accessible à tous ». Ce que confirme le tutoriel de l’Aura Paris, l’un des partenaires de l’Atir, sur l’arrêt cardiaque.
L’Atir traite l’insuffisance rénale au bout du monde, en Nouvelle-Calédonie. Les médecins et infirmiers qui acceptent de s’engager auprès d’elle relèvent avec satisfaction la qualité de sa prise en charge des patients. Et de ses conditions de travail.
Comment l’Atir égaye-t-elle le quotidien de ses patients et de ses équipes soignantes ? En ne négligeant aucune opportunité. Ainsi, chaque trimestre, elle fait paraître dans son journal interne, « Atir l’haricot », une recette gourmande que ses salariés n’hésitent pas à cuisiner et goûter ensemble. Le défi : allier plaisir gustatif et diététique. Vous voulez vous en convaincre ? Savourez les bouchées au coco fondantes et croquantes de Caroline S., infirmière de l’unité d’hémodialyse de proximité de l’Atir à Wallis. Moins sucrées que les confiseries traditionnelles, elles sont idéales en temps de fête.
Anna C. est agent de service qualifié à l’Atir. Douce et souriante, elle s’occupe des patients dialysés la nuit dans l’unité médicalisée située dans la commune de Dumbéa sur Mer, près de Nouméa. En quoi sa mission en soirée est-elle spécifique ?
Benjamin Rossi, infirmier diplômé d’Etat, travaille à l’Atir, en Nouvelle-Calédonie, depuis trois mois. Ecoutez ses...