Ressources humaines

L’Atir a choisi de former des infirmiers diplômés d’Etat (IDE) volontaires pour relayer dans ses unités de dialyse des actions dites « transversales ». Concrètement, ces référents participent à la transmission de compétences aux autres salariés et donc, à la démarche qualité de notre association spécialiste de la prise en charge des dialysés calédoniens. Un rôle à comprendre et… à saluer !

Mi-2021, l’Atir a confié à Christel, Lorenza et Petelo, ses trois assistants médicaux, une mission de relais sociaux pour les patients. Objectif : accompagner les insuffisants rénaux dans leurs démarches quotidiennes pour leur offrir la meilleure qualité de vie possible. Comment leur action s’exerce-t-elle ?

L’Atir prend des mesures concrètes pour améliorer la qualité de vie au travail de ses salariés. Parmi ces mesures, des visites régulières de la direction des ressources humaines (DRH) aux équipes soignantes, dans les unités d’hémodialyse. Egalement, l’organisation de « journées de cohésion » qui tissent des liens entre collaborateurs. La nomination, en 2019, d’un médecin responsable de leur santé et de la qualité des relations de travail est venue renforcer le dispositif.

L’Atir initie son personnel soignant aux gestes d’urgence. Pour les lui enseigner, elle a identifié parmi ses équipes des infirmiers volontaires. Ces référents ont bénéficié de la formation dispensée par un spécialiste en la matière, le docteur Christophe Ridel. Selon lui, « maîtriser l’urgence, c’est accessible à tous ». Ce que confirme le tutoriel de l’Aura Paris, l’un des partenaires de l’Atir, sur l’arrêt cardiaque.

Comment l’Atir égaye-t-elle le quotidien de ses patients et de ses équipes soignantes ? En ne négligeant aucune opportunité. Ainsi, chaque trimestre, elle fait paraître dans son journal interne, « Atir l’haricot », une recette gourmande que ses salariés n’hésitent pas à cuisiner et goûter ensemble. Le défi : allier plaisir gustatif et diététique. Vous voulez vous en convaincre ? Savourez les bouchées au coco fondantes et croquantes de Caroline S., infirmière de l’unité d’hémodialyse de proximité de l’Atir à Wallis. Moins sucrées que les confiseries traditionnelles, elles sont idéales en temps de fête.