En Nouvelle-Calédonie, l’Atir prend en charge les patients à tous les stades de la maladie rénale. Consultations de néphrologie, hémodialyse, dialyse à domicile, constitution des dossiers de greffe... En partenariat avec l’hôpital public, l’association se bat stratégiquement sur tous les fronts pour soulager la population calédonienne. Autant de défis pour les médecins et infirmiers qui décident de travailler à son service.
L’Atir traite l’insuffisance rénale au bout du monde, en Nouvelle-Calédonie. Les médecins et infirmiers qui acceptent de s’engager auprès d’elle relèvent avec satisfaction la qualité de sa prise en charge des patients. Et de ses conditions de travail.
L’Atir implique les patients insuffisants rénaux dans la défense de leurs droits, tout au long de leur parcours de soins. Comment atteint-elle cet objectif ? Grâce à une stratégie à trois volets, dont elle confie le déploiement à son comité de la qualité et de la sécurité des soins (COQSS).
Comment l’Atir égaye-t-elle le quotidien de ses patients et de ses équipes soignantes ? En ne négligeant aucune opportunité. Ainsi, chaque trimestre, elle fait paraître dans son journal interne, « Atir l’haricot », une recette gourmande que ses salariés n’hésitent pas à cuisiner et goûter ensemble. Le défi : allier plaisir gustatif et diététique. Vous voulez vous en convaincre ? Savourez les bouchées au coco fondantes et croquantes de Caroline S., infirmière de l’unité d’hémodialyse de proximité de l’Atir à Wallis. Moins sucrées que les confiseries traditionnelles, elles sont idéales en temps de fête.