La prise en charge du patient en dialyse commence par une étape incontournable : son accueil dans les locaux de l'Atir. Sa direction du service des soins infirmiers (DSSI) sait que la qualité de ce premier contact déterminera celle du parcours de soins. Elle a donc décidé de lancer un projet d’accueil personnalisé à l’Atir, ou Papa. L’engagement des équipes soignantes, la coopération avec le centre hospitalier territorial (CHT) et la satisfaction du patient, y prévalent.
L’Atir encourage ses patients à gagner en autonomie pour améliorer leur parcours de soins. Dans cet objectif, sa direction du service des soins infirmiers (DSSI) a lancé, en octobre, un projet pilote intitulé Reindez-vous Santé. Julien Guillemot, son directeur, nous explique comment l’équipe infirmière amène les dialysés à prendre eux-mêmes les rendez-vous liés à leur prise en charge médicale.
Magasinier : c'est le métier que Malia, Alphil, Isidore, James, exercent à l'Atir. Dans la pharmacie à usage interne (PUI) de notre établissement de santé, ils agencent les stocks de médicaments et de dispositifs médicaux. Et surtout, ils préparent les commandes destinées aux unités de dialyse. Une étape indispensable pour la continuité de la prise en charge des patients insuffisants rénaux chroniques.
Arrivée à l'Atir en avril 2024 pour quatre mois, le docteur Inès Castellano a contribué à atténuer les effets de la crise dans les unités d'hémodialyse du grand Nouméa. Elle y a, en effet, relayé les médecins surchargés, y compris ceux des autres opérateurs de dialyse locaux. Elle est repartie en août vers Tahiti, secouée par les affrontements urbains auxquels elle a assisté en direct, mais consciente d’avoir vécu une expérience médicale et humaine unique. Questions à une néphrologue espagnole partie découvrir le Pacifique français.
Comment dialyser les patients lorsque la force majeure rend la plupart des unités médicales inaccessibles ? L’Atir a résolu cette question, en mai, en confiant l’organisation de ses séances à une cellule d’appel. Principalement constituée de cadres de soins et d’infirmiers (IDE), cette cellule a permis d'hémodialyser coûte que coûte. Saluons leur action.
Atir l'haricot, c'est le nom du journal interne de l'Atir. Son objectif ? Informer les collaborateurs de l’association sur ses enjeux, ses projets, ses réalisations, son quotidien. Aussi la publication trimestrielle est-elle devenue, en quelques années, le reflet de son identité et de ses valeurs. Son dernier numéro fera date : Atir l'haricot raconte la crise politique et institutionnelle la plus aiguë que la Nouvelle-Calédonie ait jamais traversé, telle que les équipes de l'Atir l'ont vécue et surmontée, de mai à juillet 2024, avec courage et solidarité. Pour sauver les patients.
Déléguée à la lutte contre le sexisme et le harcèlement : c’est le rôle que l’Atir a confié à Catherine Jannet, PhD. L'association se conforme ainsi à la loi du pays favorisant l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, votée en Nouvelle-Calédonie le 26 mai 2023.
L'hygiène en dialyse, une priorité ! Pour preuve, l'Atir vient d'acquérir des équipements innovants pour faire la chasse aux bactéries et renforcer ainsi la qualité de ses soins. Un kit d’ATP-métrie qui vérifie l’eau de dialyse, des centrales de dilution de détergent automatisées, des couvertures bactériostatiques... L' association continue donc de miser sur la valeur Progrès.
Le Réseau de l’insuffisance rénale en Nouvelle-Calédonie (Résir) impose sa marque dans la prévention de la maladie rénale chronique. C'est la conclusion à tirer de son bilan d'activité 2023, exposé devant son assemblée générale le 18 avril. Comment ? Par ses actions de formation des professionnels de santé, d’information auprès du public calédonien et ses études épidémiologiques, dont certaines sont publiées dans des revues internationales de renom.
Les soins suffisent-ils à une prise en charge de qualité ? Non. Que faut-il leur ajouter ? Un accompagnement administratif qui organise les mouvements des patients dans leur parcours de soin. L’Atir a confié cette mission à Émilie, infirmière diplômée administrative (IDA) et à Soa, assistante médicale en dialyse (AMD). Interview.
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