Qui siège au conseil d’administration de l’Atir ?

Le 27 juillet, c’était l’assemblée générale annuelle de l’Atir. Ses associés ont examiné l’activité 2022 de l’association, dédiée à la prise en charge de l’insuffisance rénale en Nouvelle-Calédonie et à Wallis et Futuna. Ils ont aussi renouvelé son conseil d’administration.

Qui siège au conseil d’administration de l’Atir depuis fin juillet ? Sept administrateurs, qui, aussitôt élus, ont désigné leur président : Guilhem Mestre, directeur-adjoint du Centre hospitalier territorial Gaston Bourret (CHT), l’hôpital public néocalédonien. Monsieur Mestre remplace à ce poste monsieur Leslie Levant, lui-même directeur du CHT.

Guilhem Mestre, directeur-adjoint du CHT, est, depuis le 27 juillet 2023, le président du conseil d’administration de l’Atir.

Six autres administrateurs déjà membres du conseil

Monsieur Mestre sera entouré des six administrateurs suivants :

-le docteur Yves Doussy, directeur médical de l’Atir ;

-Mme Christine Rakotoarivelo, présidente de l’association des insuffisants rénaux et transplantés de Nouvelle-Calédonie (AIRT) ;

-M. Leslie Levant, directeur du CHT ;

-M. Jean-Michel Tivollier, néphrologue, gérant de l’U2nc et l’un des fondateurs de l’Atir ;

-M. Jean-François Cantin, néphrologue, gérant de l’U2nc ;

-M. Nicolas Quirin, chef du service de néphrologie et hémodialyse du CHT.

Ces administrateurs, tous déjà membres du conseil, exerceront leur nouveau mandat pendant deux ans encore. Remercions-les pour leur engagement !

L’Atir, en synergie avec ses partenaires publics et privés

L’Atir est une association de loi 1901, constituée en 1992 à l’initiative de médecins néphrologues issus des secteurs public et privé calédoniens. Elle assure, en Nouvelle-Calédonie, le suivi et le traitement de l’insuffisance rénale avec deux autres opérateurs  : le Centre hospitalier territorial Gaston Bourret (CHT) et l’Unité de néphrologie de Nouvelle-Calédonie (U2nc). Tous trois garantissent aux patients une prise en charge optimale, avec l’agrément des autorités sanitaires locales. Son conseil d’administration illustre, avec brio, ce partenariat entre secteurs public et privé.