Association pour la prévention et le traitement de l’insuffisance rénale
en Nouvelle-Calédonie et à Wallis et Futuna

À propos de l’Atir

L’Atir, en synergie avec ses partenaires publics et privés

L’Atir est une association de loi 1901, constituée en 1992 à l’initiative de médecins néphrologues issus des secteurs public et privé calédoniens. Elle assure, en Nouvelle-Calédonie, le suivi et le traitement de l’insuffisance rénale avec deux autres opérateurs  : le Centre hospitalier territorial Gaston Bourret (CHT) et l’Unité de néphrologie de Nouvelle-Calédonie (U2nc). Tous trois garantissent aux patients une prise en charge optimale, avec l’agrément des autorités sanitaires locales.

Le conseil d’administration de l’Atir illustre le partenariat entre secteurs public et privé : il se compose des directions du CHT, de la clinique Kuindo-Magnin, de la Cafat et d’un collège de néphrologues des deux secteurs dont l’expertise permet à l’association de répondre précisément aux besoins de la population.
Les caisses d’assurance maladie financent l’activité de l’Atir via des forfaits de traitement conventionnés; elles couvrent la totalité des soins dispensés aux patients dans l’établissement.

En collaboration avec l’U2nc, l’Atir a développé un outil précieux dans la prise en charge de l’insuffisance rénale : le dossier médical partagé. Informatisé, ce dossier intègre tous les patients insuffisants rénaux du territoire. Il constitue une source d’informations capitale pour leur garantir la meilleure qualité de soins.

L’Atir, sa vision, sa mission, ses atouts

Pour détecter et traiter l’insuffisance rénale, l’Atir met en œuvre des soins de proximité adaptés au profil des patients, en Nouvelle-Calédonie et à Wallis et Futuna. Ses services et unités sont organisés pour une prise en charge optimale.

Association pour la prévention et le traitement de l’insuffisance rénale en Nouvelle-Calédonie et à Wallis et Futuna

L’insuffisance rénale chronique évolue différemment selon les patients ; son traitement, qui vise à ralentir sa progression pour retarder le stade terminal, doit donc être adapté au profil du patient.

L’insuffisance rénale correspond à l’altération du fonctionnement des deux reins, qui ne filtrent plus correctement le sang.

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